Vous l’avez certainement lu dans la presse. L’agence française d’évaluation des pesticides (ANSES) vient de rendre un avis sur les néonicotinoïdes. Bien qu’il reconnaisse « les sévères effets négatifs de ces pesticides », l’avis ne va pas assez loin : il préconise des mesures de gestion renforcée là où une interdiction pure et simple est nécessaire.
La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a réagi à l’avis de l’ANSES en envoyant un signal relativement positif aux apiculteurs et aux citoyens, indiquant que la question sera débattue par les Sénateurs dans le cadre de la loi biodiversité dès mardi (lire la réaction complète à cette adresse).
Dans ces circonstances, nous ne pouvons que vous recommander de solliciter encore une fois vos élus ! A quelques jours du débat, vous pouvez leur écrire par mail Les parlementaires sont sensibles aux demandes de leurs électeurs, cela peut donc avoir une réelle portée sur le vote des sénateurs.
Sur ce dossier, nous avons besoin de toutes les énergies.
Voir le communiqué de presse de l’UNAF